Cappelletti in brodo

Cappelletti
Versione italiana più giù
Je vous disais l’autre jour que les pâtes peuvent être incroyablement simples mais aujourd’hui…un peu compliquées aussi. Les cappelletti (littéralement petits chapeaux) sont des sorte de ravioli mais avec une autre forme, farcis de viande et de charcuteries, qui se servent généralement avec un bouillon de chapon à Noël et le premier de l’an (je suis un peu en retard ;-). Ils sont d’origine de l’Emile Romagne puis se sont diffusés dans le centre de l’Italie. Un plat somptueux, de fête, qui regorge de bons ingrédients et demande beaucoup de travail (pas difficile techniquement mais long). Puisque c’est un plat traditionnel, de transmission, chaque famille a sa recette, les arômates et proportions secrètes. Et comme toujours ce qui me fascine c’est ces gestes ancestraux, en particulier la fermeture de ces raviolis que des milliers de personnes continuent de répéter chaque année. Je trouve ça magnifique.
J’ai découvert les cappelletti chez la grand-mère de mon mari, un plat traditionnel, un de ses préférés, que sa famille prépare chaque Noël depuis plus de cinquante ans. J’ai été immédiatement conquise par ces pâtes si rassurantes, goûteuses avec un équilibre de textures et de saveurs vraiment incroyable. Il est devenu aussi un de mes plats favoris.

Du coup cela fait des années que je le prépare en variant chaque fois les proportions de la farce pour tenter de retrouver la sensation de ceux que j’ai goûtés chez ma belle famille. Cette version qui ne prétend pas être universelle (puisqu’il n’y en a pas 😉 se rapproche beaucoup et surtout est très aimée. Il faut dire que certaines recettes prévoient aussi l’ajout de moelle, ou de cervelle d’agneau, qui doit en effet lui donner un moelleux parfait. C’est vraiment un plat à découvrir, un régal qui chauffe le coeur et le ventre. C’est vrai c’est long (pas difficile) mais l’avantage (il faut bien qu’il y en ait un) c’est que tout peut être préparé par étape et à l’avance. En particulier les cappelletti se surgèlent très bien (c’est ce que je fais d’ailleurs) et quel plaisir rentrer chez soi et de pouvoir déguster une telle soupe en moins d’une demi-heure.

Concernant les pâtes à l’oeuf, ne vous impressionnez pas, c’est une pâte très facile à travailler, très résistante et qui donne bien des satisfactions. On peut aussi l’étaler à la main mais je vous conseille vivement un laminoir qui vous permet d’éviter le repos et surtout d’obtenir une grande finesse et homogenéitè. J’espère vous avoir donné envie de vous lancer, ça en vaut la peine!

Cappelletti au bouillon de chapon (pour 12 personnes)

Pour la pâte:
– 400 g de farine
– 4 oeufs
– 1 cs d’huile d’olive
Pour la farce:
– 150 g Parmigiano Reggiano (fraîchement râpé c’est mieux)
– 80 g de longe de porc
– 90 g de blanc de poulet (ou de chapon)
– 100 g de tranches de jambon cru (de Parme)
– 100 g de tranches de mortadella (de Bologne)
– 1 oeuf
– sel, poivre, huile d’olive, beurre
– noix de muscade, laurier, romarin, citron jaune
Pour le bouillon:
– un chapon ou une poule ou un poulet fermier
– 2 carottes, 2 branches de céléri, un oignon jaune ou blanc, 3-4 feuilles de laurier

1. La veille ou même deux jours avant, préparer le bouillon. Couper les carottes, le céléri et l’oignon en gros morceaux et les mettre dans une grande casserole. Poser dessus la volaille, ajouter de l’eau froide de manière à la recouvrir complètement et laisser mijoter à feu moyen-doux pendant au moins 3 heures, en ayant soin de retourner de temps à autre la volaille. Quand la viande est bien tendre (elle se détachera des os), la retirer (à utiliser lors d’un autre repas ;-). Puis filtrer le bouillon à l’aide d’une passoire recouverte d’un tissu en coton ou en lin. Récupérer le bouillon, le saler légèrement. Si l’utilisation n’est pas immédiate, le faire refroidir puis le verser dans un récipient (une bouteille bien fermée par exemple) et le garder au réfigérateur.
2. Préparer la farce (même la veille). Dans une poêle faire revenir une noix de beurre avec une feuille de laurier et une branche de romarin. Ajouter le porc et le poulet coupé en petit dés et cuire pendant 5 minutes, le temps qu’ils colorent. Rétirer les herbes, saler et poivrer. Passer au mixeur ces viandes avec le jus de cuisson, puis ajouter la mortadella et le jambon coupés en morceaux. Verser tout tant un récipient puis ajouter l’oeuf, le parmesan et une pincée de noix de muscade. Bien travailler pour obtenir une farce homogène. Couvrir de papier film et mettre au frigo.
3. Préparer la pâte (même la veille). Faire un tas avec la farine, former un trou au centre et y verser les oeufs, une pincée de sel et l’huile. A l’aide d’une fourchette incorporer au fur et à mesure les oeufs afin d’obtenir une pâte homogène (au début elle sera un peu collante, c’est normal). Travailler encore à la main en écrasant pour obtenir une boule lisse et souple. Le tout peut très bien se faire dans la cuve d’un robot avec la feuille (plate). Couvrir de papier film et laisser reposer au réfrigérateur.
4. Préparer des boulettes de farce de 1-2 cm de diamètre (1 c’est mieux ;-). Prélever un petit morceau de pâte, le passer au laminoir bien fariné plusieurs fois (deux-trois fois) pour chaque épaisseur jusqu’à la plus fine (n.9).
A l’aide d’un emporte-pièce rond de 5-6 cm de diamètre (ou même un verre) couper des ronds sur la bande de pâte. Poser au centre la boulette de farce, refermer en demi-lune e(n partant du centre, près de la farce de manière à faire sortir l’air) puis bien souder les deux pointes. On obtient ainsi un cappelletto. Procéder de même avec le reste de pâte et de farce. Poser chaque cappelletto sur un plan fariné. Dès qu’ils ont séché, on peut les surgeler en les farinant et les mettant dans des sachets en plastique (ou même des boîtes). Au début il convient de les contrôler en les espaçant pour éviter qu’ils ne restent collés lors de la congélation. Ils se gardent plusieurs semaines.
5. Au moment de servir, faire bouillir le bouillon afin qu’il devienne plus dense (il devra rester 3 litres si moins, ajouter un peu d’eau), saler et poivrer. Y faire cuire les cappelletti. S’ils viennenet d’être préparés, la cuisson est de 6-7 minutes environ, s’il sont surgelés elle est au moins de 15 minutes. Servir bien chaud avec, si l’on aime, un peu de jus de citron et du parmesan râpé.

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Versione italiana

Con un po’-tanto ritardo eccomi con il piatto delle feste (di Natale hem hem siamo a carnevale vabbè passiamo) in particolare a casa della famiglia di mio marito, che si prepara da più di cinquant’anni. La ricetta dei cappelletti in brodo come molti piatti della tradizione e trasmessi da generazione a generazione, è soggetta a mille varianti e ogni famiglia ha i suoi segreti. E poi come sapete, meglio di me, in Emilia-Romagna, in alcune zone i cappelletti sono senza carne o solo con il pollo…

Uno dei piatti preferiti di mio marito che io ho scoperto a vent’anni e che mi ha sedotta immediatamente. Quel brodo caldo che scalda il cuore e i cappelletti saporiti, sontuosi ma gentili. Amo pensare a questi gesti antichi, uguali che migliaia di persone riproducono da anni. E poi, come Erborina, adoro il lato giocoso della pasta ripiena. E cosi’ mi sono lanciata cercando di ritrovare il sapore di quelli gustati, cambiando continuamente ricetta del ripieno, equilibrio difficile (partendo da quella dell’Accademia italiana della cucina). Questa è quella che ci piace di più e più fedele ai ricordi. Magari pero’ sono curiosa di conoscere le vostre ricette di famiglia, se avete voglia di condividerle, mi farebbe piacere provarle 🙂

Naturalmente il piatto è lungo da prepare e sicuramente più divertente da fare in compagnia. Comunque il vantaggio è che tutto è scorporabile, anticipabile. Inoltre i cappelletti si surgelano benissimo. Volete mettere il piacere di tornare a casa e poter gustare questa zuppa rassicurante in meno di mezz’ora? P.S. I miei sono un po’ cicciotti un po’ per generosità un po’ per pigrizia 😉

Cappelletti in brodo (per 12 persone)

Per la pasta:
– 400 g di farina
– 4 uova
– 1 cucchiaio d’olio d’oliva
Per il ripieno:
– 150 g di Parmigiano Reggiano (grattuggiato)
– 80 g di lonza di maiale
– 90 g di petto di pollo (o di cappone)
– 100 g di fette di prosciutto crudo (di Parma)
– 100 g di fette di mortadella (di Bologna)
– 1 uovo
– sale, pepe, burro
– noce moscata, alloro, rosmarino, limone
Per il brodo:
– 1 cappone o una gallina o un pollo ruspante
– 2 carote, 2 rami di sedano, una cipolla bianca o gialla, 3-4 foglie d’alloro

1. La vigilia o anche due giorni prima, preparare il brodo. Tagliare le carote, il sedano e la cipolla a pezzetti. Mettereli sul fondo di un pentolono e pogiarvi il cappone o la gallina. Aggiugere l’alloro e coprire d’acqua fredda. Portare a bollore su fuoco medio-dolce e per almeno tre ore (la carne deve staccarsi dalla carcassa) avando cura di rigirare il volatile di tanto in tanto. Quando è cotto toglierlo e salare leggermente, filtrare il brodo su un passino coperto da un panno di cotone o di lino. Se non si usa subito farlo raffreddare e conservarlo in frigo in un recipiente ben chiuso.
2. Preparare il ripieno (anche la vigilia). In una padella far rosolare il pollo e il maiale tagliato a dadini in una noce di burro. Aggiungere una foglia d’alloro e un rametto di rosmarino. Far cuocere 5 minuti circa, il tempo che la carne si colori. Ritirare le erbe, salare e pepare. Frullarla con il sughino di cottura poi aggiungere la mortadella e il prosciutto. Raccogliere il composto in una ciotola e incorporare l’uovo e il parmigiano e un pizzico di noce moscata. Lavorare per ottenere un composto omogeneo. Coprire di pellicola e mettere in frigo.
3. Preparare la pasta all’uovo mescolando tutti gli ingredienti incorporando l’uovo con una forchetta (o anche mescolando tutto nella ciotola del robot con il gancio piatto). Lavorare per ottenere un’impasto liscio, omogneo ed elastico. Coprire di pellicola e mettere il frigo.
4. Con il ripieno della carne formare delle palline di 1-2 cm di diametro (1 è meglio ma la pazienza…)
Stendere la pasta con la macchinetta molto finemente (fino alla tacchetta 9) avendo cura di passarla più volte in ogni spessore. Con un copapasta (o anche un bicchiere) fromare dei tondi di 5-6 cm di diametro, poggiare al centro la pallina di ripieno e ripiegare partendo dal bordo del ripieno in modo da far fuoriscire l’aria. Ricongiungere le due estremità (punte) premendo bene. Lasciar asciugare su un piano infarinato. Procedere con il resto di pasta e ripieno. Si possono tranquillamente surgelare in sacchetti di plastica o scatole, faccendo attenzione all’inizio di ben separali per evitare che si incollino). Si conservano diverse settimane.
5. Al momento di servire far bollire il brodo e farlo un po’ restringere (deve rimanerne circa 3 litri anche un po’ meno). Lessare i cappelletti nel brodo, se freschi 5-6 minuti e se surgelati almeno 15 minuti (anche 20). Servire caldo volendo con un po’ di succo di limone e del parmigiano.

66 réflexions au sujet de “Cappelletti in brodo”

  1. Io da ferrarese non posso che essere felice di vederli in quel meraviglioso piatto! La nostra ricetta però non prevede olio nella pasta, ma solo farina e uova e nel ripieno niente limone, alloro..

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  2. No, no, no…per un po' di tempo la pasta ripiena non la voglio proprio vedere. E poi ci sfidi su quella per me più difficile in assoluto!
    Da brava mantovana, ho già provato a riprodurre i tortelli di zucca della nonna (peraltro con scarsissimi risultati) ma gli agnolini (perchè noi li chiamiamo così!)…non ci penso proprio!
    Ci rivediamo tra qualche vita!

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  3. ho scoperto il tuo blog arrivando da Sabrine, che meraviglia le ricette, le foto tutto! meno male che c'è la traduzione in italiano altrimenti avrei fatto impazzire mio marito chiedendogli le traduzioni! ciao Ely

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  4. Ciao devono essere davvero molto buoni…io purtroppo non li ho mai assaggiati ma mi danno l'impressione di essere molto adatti ad un pranzo importante, come hai già detto tu anche natalizio….complimenti ti sono usciti benissimo…e sei stata molto precisa anche nelle dosi e nella descrizione della ricetta…a presto Luciana

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  5. dada…. colpita e affondata…. già dal titolo, poi la foto, poi i piatti!!!!! bisogna organizzare uno scambio equo, tu ci procuri i bellissimi piatti e noi (vero genny???) ti mandiamo forniture dall'italia!
    🙂
    ciao dada, buona settimana

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  6. che bel servizio di piatti;)…ma no dai i cappelletti sono uno dei piatti che adoro fare, quando si parla di impastare con le mani é che c'é mio marito che lavora bene la pasta ed io mi tiro sempre indietro pero' mi piace da matti ed é vero che ci vuole un tempo impossibile per ora…ma mi hai dato una grande voglia!!! ineffetti aspettavo Elga per farli insieme, chissà magari organizziamo se la bravissima Elguccia ci verrà a fare visita!!!
    Il mio ripieno non prevede il petto di pollo!!!
    Buon inizio settimana 🙂

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  7. La lecture de ton billet et l'emotion que tu y met en racontant la transmission de la recette, les gestes ancestraux, le moelleux de ces pâtes ….et bien tout cela me met l'eau à la bouche !
    C 'est très tentant, et le meilleur moyen de se débarasser d'une tentation c'est d'y succomber, non ??

    Bises

    Elodie

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  8. Massima ammirazione per chi è in grado di preparare queste prelibatezze… da un paio di mesi mi ripropongo di imparare, ma senza nessuno che mi insegna è davvero difficile…

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  9. Io confesso non li faccio mai,li compro dal pastificio di fiducia, complimenti!!!!
    da queste parti esiste una festa chiamata la festa del nodo d'amore…siamo pur sempre in terra di Giulietta e Romeo…e Valeggio è conosciuto per il paese dei tortellini, tanto da farne una mega tavolata a metà di giugno…ti lascio un paio di link a riguardo,per quando avrai tempo e voglia di leggerli, baci.

    http://www.verona.net/it/storia/il_nodo_d_amore.html

    http://www.lagodigarda-e.it/content/view/171/1/lang,it/

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  10. Très belle recette, je retiens l'idée de la farce pour éventuellement des raviolis et pour le laminoir je suis bien d'accord, ce n'est pas compliqué à utiliser et tellement pmus pratique que le rouleau.

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  11. la farce est délicieusement gourmande …. j'aime beaucoup la façon de servir dans du bouillon… merci pour cet enchantement culinaire.
    bises

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  12. per me la pasta ripiena in brodo è proprio il piatto tipico di Natale. da noi pur essendo in emilia il ripieno e la forma si fa in modo del tutto diverso e in fatti non si chiamano cappeletti….bella la foto, atmosfera di pranzo di famiglia

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  13. Joli joli, joli, passe moi une cuillère 🙂 non plutot une louche.
    Ah écoute on a fait ta buche de noel samedi(oui nous aussi en avance pour noel prochain). Très bon ça va sans dire (needless to say, yes 'am english). Pour un peu presque je la prèfère à la vandick, meme si bien sur la ganache ça fait miam miam. Par contre on a fait le praliné par nous meme puis passer au blender, mais je ne sur du procédé. Bon je te demanderai plus en détail.
    Salut à deux 🙂
    Et bravo aussi pour tes jolis textes (ah la culture…).
    Ciao! you know you know
    Pierre
    PS: pas de clavier azerty pour les ^

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  14. i ripieni per i cappelletti variano perfino da paesino a paesino, io sono di parma e noi facciamo gli "anolini", quelli tondi per intenderci. li riempiamo con pangrattato bagnato con sugo di stracotto, la carne dello stesso macinata, uovo e tanto parmigiano. per dirti quante ricette ci sono, appena fuori città e soprattutto nei paesi più vicini al po, li fanno con solo pane bagnato col brodo e parmigiano. per non parlare della carne utilizzata, dall'asinina al solo manzo al misto manzo-maiale!
    comunque sempre buonissimi, a casa mia chi si occupa della produzione di anolini è mio marito(l'unica cosa che fa in casa), l'anno scorso ne ha fatti insieme ad un suo amico ben 16kg!!!! ho avuto la scorta fino a questo natale!!!

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  15. @ Virginia: ;-)) mi fai troppo ridere. Guarda che anch'io per anni non mi sono avvicinata a questo piatto, grande orgoglio della famiglia. Invece si puo'! Comunque anch'io faccio lunghe pause pasta ripiena. Tra qualche vita va benissimo (e staremo ancora a parlare di cucina?? 😉

    @ Alem: grazie, in realtà sono solo due, poveretti, senza servizio 😉

    @ Luciana: grazie mille per il complimento! Si' sono mooolto buoni e… impegnativi 🙂 Se hai l'occasione, assaggiali, ne vale veramente la pena

    @ Genny: ;-)) e i cappelletti li buttiamo?

    @ Babs: sei simpaticissima, non affondare troppo eh? D'accordo per il patto equo e solidale 😉 Buona settimana anche a te!

    @ Mariluna: hem non è proprio un servizio, è piuttosto una coppia un po' solitaria. Anche a me piace molto farli (e mangiarli) magari potremmo organizzare un incontro? ;-)Le versioni dei ripieni sono infinite e in effetti molte prevedono solo il maiale

    @ Elga: :-D. l'olio nella pasta è piuttosto una mia fissa. Per quanto riguarda l'alloro serve solo ad aromatizzare la carne (poi si toglie) e il limone a "sgrassare" il brodo al momento di servire. Ma dipende dai gusti :-). comunque si', mille versioni diverse e forse è proprio questo il bello

    @ Kitchen Victim: merci beaucoup pour tes mots! Pour succomber il faudra ou une journée de travail ou goûter ici 😉

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  16. @ Onde99: grazie di cuore per l'ammirazione! Comunque è fattibile, sono gesti lenti e antichi ma non difficili. Se vuoi ti faccio vedere 😉

    @ Astrofiammante: certo se lo trovi dal pastificio di fiducia (che fortuna!). Grazie per i link, mi diverte sempre scoprire, vado a vedere 🙂

    @ Ely: grazie mille per il tuo messaggio e ben approdata qui!

    @ Saretta: grazie sei sempre molto gentile 🙂

    @ Lydia: dai allora dobbiamo farli insieme!

    @ Tiuscha: je suis contente! Bon courage alors 🙂

    @ Choupette: merci! Oui la farce va très bien aussi pour des ravioli

    @ Chiara: un grazie di cuore a te per questo messaggio, che piacere!

    @ caro: oui c'est vraiment la tradition italienne, profonde et festive. Je suis contente de t'avoir convaincue et si tu as des questions n'hésites pas!

    @ maia: grazie!

    @ Erborina: hi hi lo so' che hai un debole! Grazie!! Bacione

    @ Minouchka: merci! (la pasta c'est meilleur à manger 😉

    @ stef aux fourneaux: merci pour tes gentils mots! Oui les pâtes en bouillon ont quelquechose de très rassurant, chaleureux 🙂

    @ Gio': anche a me sa' di Natale. grazie per il complimento, è quello che volevo trasmettere 🙂

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  17. @ Virgikelian: grazie per il tuo commento e il filo della tradizione. Vado a vedere!

    @ Philo: je suis d'accord 😉 (pas trop à l'improviste quand même)

    @ Pierre: ;-D Merci pour le sourire. je suis contente que la bûche vous ai plu (pour le praliné si tu veux je t'indiquerai). Bises

    @ dauly: veramente grazie per il tuo intervento! Per le indicazioni, le variazioni infinite dei ripieni (che trovo affascinanti)…Mi hai fatto ridere con i 16 kili, che bontà e comodità 🙂

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  18. Pour un poil plus de gout et surtout de suavité du bouillon avec un ajout de gélatine supplémentaire, je te conseille de couper en plusieurs morceaux ta volaille au gros couteau, de la faire revenir a feu doux avec tes légumes et du beurre pendant quelques minutes avant d'ajouter l'eau

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  19. E' un piatto della tradizione, e come tale ogni famiglia ha il suo. Anche io ho impiegato un pò di tempo a trovare la versione che a me piaceva di più, partendo da quelli mantovani, passando poi per Reggio Emilia, Bologna e così via … ricette codificate non ci sono .. ci sono solo ricordi e gusti a cui si è affezionati !!!! E so quanto sia forte la tentazione di farli grossi (più grossi sono, prima si finisce). Il problema è che a me piacciono piccolissimi, ma visto che a mio marito piacciono più "cicciotti", ho la scusa per farli più grandini senza sentirmi in colpa !! E quanto è bello tornare a casa e scongelare dal freezer brodo e agnoli .. pronti e buoni, come se si avesse cucinato tutto il giorno … come ti capisco .. peccato che le mie scorte siano finite … Manu

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  20. no no no, QUESTA è troppo difficile per me e TU sei un vero mito!
    santamammadeifelini…. sublimamente cicciottelli!
    attenta a te che ti trovi due felini bipedi che miagolano al tuo balcone….

    nasinasi

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  21. un billet plein d'émotion qui nous donne vraiment envie de gouter voir d'essayer de le faire.
    C'est toujours un grand plaisir de venir sur ton blog je te dis encore un grand merci.
    bonne soirée à toi
    hervé (lesateliersdhys)

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  22. Credo che i cappelletti in brodo, quando sono buoni ( proprio come i tuoi! ) siano un piatto insuperabile…non c'è tortello, lasagna, sformato che tenga! I cappelletti sanno di casa , di famiglia, di festa, di …mamma! Che buoni….E la foto è semplicemente superba…Baci 🙂

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  23. Chouette, mon mari vient de me ramener une machine pour faire les pâtes, je n'ai plus qu'à m'y mettre. Et ton univers va être pour moi un véritable hâvre où je vais trouver de superbes recettes. J'aurai quand même du chemin à faire pour avoir ton coup de main. Tu sais, je ne commente pas très souvent, car je n'ai pas le temps avec le travail, mais là je suis en vacances depuis hier, alors j'en profite un peu. J'admire le travail que tu fais en photo, c'est superbe.

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  24. Eccola la mia Dada che viene a prendere spunto sulle miei origini culinarie… mi fa quasi un certo effetto vedere i nostri cappelletti in un blog francese… davvero bellissimi e buonissimi.. bacione grande cmq sono originari di Reggio Emilia, perchè già tra modena e parma si chiamano in un'altra maniera..

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  25. Super !!! On a toujours adoré les capelletti au bouillon. Ma grand mère romagnole avait donné la recette à ma maman lorraine. Elle y ajoutait un carré gervais à 60 % et un peu de citron dans la farce.
    Merci d'avoir publié cette recette !

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  26. J'ai testé ce soir, c'était vraiment excellent !
    C'était pas mal de travail pour seulement 2 personnes à table mais ce n'est pas grave, on s'est régalées. Demain, je vais m'amuser à faire toute une ribambelle de cappelletti 🙂
    Merci pour la recette Edda !

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  27. @ Camille: merci à toi! Tu me fais super plaisir là, je suis contente que tu te sois lancée et que vous vous soyez régalés. Oui c'est du travail, en général j'en fais beaucoup à la fois et je les congèle. Très bonne soirée!

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  28. On s'est aussi lancés chez nous! La mamma moulait la farce en boulettes, la figlia (moi) laminait la pâte (mais pas jusqu'au plus petit cran, rhalala, ça s'effritait un peu), et puis ensuite nous avons plié ce qui ressemblait dans un premier temps à des petits casques de Dark Vador, puis enfin à des vrais cappelletti.

    Et bien nous nous sommes régalés, Dark Vador ou pas. Ca va beaucoup plus rapidement de les confectionner à deux!

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  29. @ Colloquial Cook: ah tu me fais plaisir aussi! En bonne compagnie c'est encore plus rigolo à faire, je suis vraiment ravie que vous vous soyez lancés 🙂 Merci pour le retour

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  30. C'est avec bonheur que je parcours ton blog…plein de fraicheur…et si bien conté…
    J'ai eu l'occasion de passer Noél dans une famille Italienne..et oui les capéllittis..sont préparés avec amour…patience…dégustation…mais, je ne dirais qu'une chose..c'est qu'une bonne poule au pot bien mijotée ferait tout à l'affaire à moindre coup….mais pour les puristes…c'est le chapon….Merci encore..Bonnée année 2012..je t'ai mis dans mes favoris..je ne pouvais y couper..trop bien…Amicalement

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  31. @ Anonyme (votre nom ? 😉 : merci pour votre commentaire chaleureux ! Oui les cappelletti sont un rite qu'encore beaucoup de familles dont celle de mon mari) suivent, je trouve ça magnifique. Moi-même je me suis retrouvée souvent à reproduire ces gestes ancestraux et à m'écrouler devant 200 cappelletti.
    Les recettes sont aussi familiales avec des petites modifications, la présence ou pas de viande selon les régions…
    Je vous avoue que quand je ne trouve pas de chapon (symbole de fête) je prépare aussi le bouillon avec de la poule. Ce n'est pas pareil mais ça va aussi ;-).
    Très belles fêtes de fin d'année !

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  32. hummmmmmmmmmmmmmmm les capelletti al brodo de mon papa!!!! j'avais presque oublié….merci pour cette recette qui me rappelle mon enfance ( mon pere est corse et en bon corse il connaissait l'italien et la cuisine italienne et nous cuisinait tous les dimanches des petits plats comme l'osso buco, les spaguetti alle vongole etc….je découvre ton blog avec délectation, j'ai quelques recettes à tester rapidement!
    à bientot
    Lara

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  33. Ciao Edda,

    Voilà une de mes entrées de Noël mais comme je fais déjà bcp de choses ce jour-là, j'ai acheté des pansottis al tartuffo (frais bien-sûr) au marché de Ventimiglia.

    Emilie

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  34. J'adore cette recette, quand je vais à Bologne c'est un de mes plats préférés ?. J'ai deux petites questions la farce je peux la réaliser avec un cutter robot coupe? Pour le bouillon est-il possible de le congeler également? Merci pour toutes ces magnifiques recettes j'en ai testé pas mal toutes meilleurs les unes que les autres. Bravo pour ton travail..

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    • Mille merci Angélique pour le message enthousiaste ! Je suis touchée et surtout ravie du régal.
      Pour la farce oui on peut utiliser un robot coupe, en gros il faut obtenir une sorte de pâte (farce 😉 assez homogène et compacte pour pouvoir réaliser des boulettes.
      Oui le bouillon se congèle aussi très bien. Il suffit de la décongeler ensuite une nuit au frais puis de le réchauffer.
      Buoni cappelletti et belle soirée !

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  35. Bonjour Edda, j’ai repéré cette recette depuis longtemps et je me suis lancé hier. Pour le bouillon, j’ai mis de côté celui de la poule au pot d’il y a 15 jours, je l’ai dégraissé et gardé au congélateur. Je l’ai clarifié pour une saveur plus subtile, un bouillon bien limpide, puisque je ne l’avais jamais fait et ça m’amusait de me confronter à cette préparation. Ensuite, pour occuper ce samedi pluvieux, j’ai préparé les cappelletti avec mes neveux (5 et 11 ans) : le petit adore jouer à fourrer les pâtes fraîches et la grande sait se servir de la machine à pâte comme une vraie pro 😀 On a dégusté ça hier soir devant Ratatouille (le film avec le rat cuisinier ^^) : on s’est régalé tous les 3! Dans mon bol, j’ai versé quelques goutes d’huile d’olive à la truffe blanche… C’est une merveille! Ma grand-mère (qui est un fine cuisinière, mais qui vient d’avoir 90 ans donc cherche à passer le flambeau quand il s’agit de nourrir de grandes tablées) m’a demandé de m’occuper du repas la veille de Noël. Je crois que j’ai trouvé le plat principal… Merci beaucoup!

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    • Bonsoir Benjamin,
      Tout d’abord un immense bravo pour le courage et je suis heureuse que vous vous soyez régalés ! C’est une recette de famille à laquelle nous sommes très attachés, c’est délicieusement réconfortant 😉 Et quel honneur la demande de votre grand-mère !
      À bientôt

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  36. Je propose ce plat d’ exception à mes proches et amis , depuis 40 ans, avec une demande toujours pressante, car c’est un réel plaisir de savourer ces cappelleti qui nous renvoient vers une Italie gourmande . Ma touche personnelle bergamasque , concerne la viande hachée , à savoir un tiers de veau, un tiers de bœuf, un tiers de porc et le tour de main qui magnifie le bon vers l’ excellence . Merci ,et bonnes fêtes

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    • Merci beaucoup Mireille pour le message et bravo, quelle belle tradition et quel plaisir gustatif !
      Oui oui (même en Emilie-Romagne) il y a des versions avec le veau et le boeuf 😉
      Belle soirée et buone feste !

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