Frittata aux épinards et au parmesan (cuite au four)

Frittata aux épinards et au parmesan (cuite au four)

Frittata cuite au four aux épinards, aux herbes, oignon nouveau et au parmesan pour fêter le printemps ! Ou réaliser un plat repas tout vert, sain, bon marché et même joli à la maison ou en pique-nique. Cette omelette italienne peut aussi faire office d’entrée (coupée en fines tranches) de Pâques ? L’omelette est la base de la base des cuisines. En Italie, il existe plusieurs recettes régionales (si si) avec des herbes, parfois sauvages, des légumes, de l’oignon, des champignons. Ici j’ai choisi de la cuire au four pour deux raisons : tout d’abord à cause de l’épaisseur et de la présence des épinards qui apportent de l’eau afin que ce ne soit pas trop dur de la faire cuire à coeur et la retourner 😉 Ensuite pour des raisons pratiques : il ne faut rien faire et la cuisson est impeccable. Vous pouvez aussi la cuire à la poêle, en huilant de manière abondante, en couvrant à mi-cuisson (quand une petite croûte s’est formée en dessous) avant de la retourner. Et si vous n’aimez pas les épinards : aucun soucis, on ne sent presque rien, promis. Enfin, la différence entre l’omelette française et l’italienne (après ça reste une omelette hein) est notamment la cuisson. En Italie, tout est toujours plus cuit 😉

Minestrone italien de printemps

Minestrone italien de printemps

Minestrone aux légumes du printemps et aux pâtes à l’italienne. Un hymne aux printemps, ses légumes verts (notamment les asperges, les petits pois), le renouveau, la fraîcheur et la légèreté ! Le type de plat à garder sous le coude. Quand on a faim mais on veut rester légers, il nous fait que plaisir. C’est aussi une belle façon, comme dans le concept même du minestrone de déguster plein de légumes en appréciant leur texture (surtout avec la touche en plus des asperges sautées). Je vous ai donné une version végétale vegan et vous avez dans les notes à la recettes des variantes possibles. Je sais que je pourrais déguster des litres de cette soupe pour ma part. Une belle idée d’entrée (pour Pâques ?) ou de repas léger.

Choux de Bruxelles sautés à l’orange

Choux de Bruxelles sautés à l’orange

Choux de Bruxelles sautés à l’orange. Un accompagnement végétal, léger, parfumé. Transition entre l’hiver et le printemps ! Et une autre façon, délicate, de déguster les choux de Bruxelles. J’adore sauter les légumes, la viande ou le poisson avec de l’huile d’olive et des agrumes. C’est très italien, simple et il y a toujours cette petite note de fraîcheur, d’acidité qui réveille le palais. Je suis devenue amie des choux de Bruxelles il y a quelques années, quand je les ai trouvés frais au marché. Des mini-chou, très végétaux, croquant et presque pas avec ce goût soufré voire amer qu’on leur retrouve souvent. Cette version avec les oranges sanguines que j’adore est je pense une de mes façons préférées de le déguster. À servir avec un rôti (de poulet, de porc), du fromage, du poisson blanc… Ou même en entrée. Les bébés choux sont finalement très sympathiques 😉

Harchas aux olives et au thym

Harchas aux olives et au thym

Harchas au thym et aux olives. Des petits pains de semoule ou des galettes, express, faciles et ultra savoureux ! Petit clin d’oeil au Maroc où la harcha peut être salée, sucrée avec ces éléments tellement de Méditerranée comme la semoule fine de blé dur, de l’huile et ces mains qui mélangent dans le saladier. Ces gestes ancestraux où comme par magie, une pâte se forme. Et puis ? Autre particularité ? Ils sont sans levée et surtout se cuisent à la poêle comme le Batbout d’ailleurs. J’ai commencé à goûter à la cuisine marocaine, adolescente, grâces à des amies et à leurs mamans qui cuisinaient divinement. C’est une cuisine qui est restée dans mon coeur. Cette version parfumée est parfaite pour l’apéritif ou pour accompagner du chèvre frais par exemple. Plus attrayant que du simple pain c’est sûr.

Comment consommer plus de légumes ? Cinq astuces et cinquante idées recettes

Comment consommer plus de légumes ? Cinq astuces et cinquante idées recettes

Mettez plus de légumes dans votre vie ! Parce que c’est bon, ça fait du bien à la santé, c’est plein de fibres, c’est léger mais surtout vous pourrez vous amuser à l’infini. Personnellement c’est les ingrédients qui m’inspirent le plus. Mais je comprends que parfois par habitude, goûts, on soit plus réticents à déguster des légumes. Voici donc cinq astuces pour manger plus de légumes (sans se punir) en gardant tout le plaisir et la familiarité des plats que le l’on aime. Lasagnes, curry, boulettes, tartes salées, soupes, gâteaux (si si)… Je vous donne plein d’idées recettes mais aussi des petits trucs, comme la cuisson et ou l’assaisonnement, qui vont transformer un légumes tristounet en un légume sexy. Vous trouverez d’avantage de recettes en cherchant dans le moteur de recherche avec un légume clé. Et vous, avez-vous des secrets pour déguster plus de légumes ?

Soupe de lentilles et poulet comme à Bologne

Soupe de lentilles et poulet comme à Bologne

Soupe de lentilles et poulet pour partir à Bologne, chez la nonna, en pleine campagne en hiver. La soupe qui nous réchauffe, humble et savoureuse avec cette légumineuse si aimée (apparemment parmi la préférée des italiens) qui fait du bien. Un plat complet, simple et bon marché où les lentilles fondantes et rassasiantes, rencontrent de morceaux de poulet et où le pain est imprégnée de toutes ces saveurs. Rustique et délicieuse. Il existe plusieurs versions familiales. La plus simple se réalise uniquement avec de l’ail, des lentilles et du blanc de poulet. Je lui ai donné un peu de peps avec du poulet rôti, du céleri croquant et du persil.

Bouillon aux légumes, pâtes et gingembre

Bouillon aux légumes, pâtes et gingembre

Bouillon aux légumes croquants et nouilles, parfumé au gingembre et à la citronnelle. Le réconfort. L’assurance d’un bol chaud, léger, gorgé de parfums, qui fait du bien. L’idée est née en regardant mon frigo et est inspirée des magnifiques bouillons dégustés au Japon. Même si ici les parfums sont plus thaï du fait de la présence du gingembre et de la citronelle. Et de la coriandre : la touche finale qui apporte du peps. Enfin, disons que c’est un mélange entre l’Europe (le minestrone avec les pâtes ?) et l’Asie… J’aime tellement ce type de plat, où le légume est essentiel et sublimé, où les pâtes sont glissantes, discrètes mais le rendent plus complet. Où à travers une cuillère l’on peut voyager au loin. La magie de la cuisine et des ingrédients. Je vous donne plus bas aussi d’autres recettes de bouillon et des conseils de variantes (selon votre frigo ou votre retour de marché). Vous pouvez réaliser le bouillon de légumes maison ou opter pour un autre bouillon (dans le non végétal j’ai une préférence pour le bouillon de volaille Ariaké, depuis plus de 10 ans). Petite soupe du soir ou d’une soirée galante ? 😉

Pommes de terre rôties au parmesan (avec la vidéo)

Pommes de terre rôties au parmesan (avec la vidéo)

Pommes de terre rôties au parmesan. Irrésistibles absolument ! Si vous cherchez des pommes de terre rôties, gourmandes, croustillantes et savoureuses vous avez ici un trésor. Et oui, en bonne italienne j’adore le parmesan, partout ou presque. Une recette ultra simple avec des astuces (dont la double cuisson, que je vous proposer souvent d’ailleurs) avec en plus la vidéo pas à pas (réel sur mon compte Instagram). Difficile de ne pas allonger la main pour les saisir, se retourner dix fois vers le plat pour ne pas succomber. Déjà à elles seules, elles occupent la place du repas. Vous pouvez les proposer en accompagnement. Et elle sont très bonne aussi plongée dans du yaourt ou… dans une sauce au parmesan comme dans ces conchiglioni farcis au canard, sauce au parmesan. Plus bas, je vous donne aussi d’autres idées de recettes de pommes de terre rôties. On a tous besoin de pommes de terre rôties n’est-ce pas ?

Potage de Crécy (aux carottes)

Potage de Crécy (aux carottes)

Potage de Crécy ou le velouté de carottes typique du Nord et d’antan (il a plus d’un siècle) grand classique de la cuisine française. La soupe qui nous réconforte, nous réchauffe surtout (même si nous sommes au Sud il fait un froid de canard comme dirait ma mère). Une soupe avec trois fois rien, bon marché, saine avec un petit secret : le riz ! Mais il ne se voit pas hi hi. Je vous donne ici une des versions mais sachez qu’il en existe plusieurs (sans parler de celles contemporaines) avec des pommes de terre ou pain à la place du riz ou bien des poireaux pour remplacer l’oignon. Une recette ménagère qui s’adapte à ce qu’on a sous la main. Mais vu que nous sommes au Nord, le beurre et crème ne peuvent manquer. Pourquoi ce nom ? Parce qu’il s’agit d’un plat originaire de la ville de Crécy-Ponthieu (où a eu lieu une célèbre bataille d’ailleurs avec les anglais en 1346). Il existe aussi sous forme de purée (donc plus dense et avec des pommes de terre) et peut se déguster à température ambiante. C’est une jolie base, vous pouvez la considérer comme support à des dés de lardons, du poisson… Cette version soupe ici est végétarienne mais à vous de vous amuser.