Des pâtes crémeuses, parfumées, ensoleillée, essentielles, prêtes en quelques minutes… à la fois du Nord et du Sud, un classique des années 80′ qui est devenu intemporel. Et surtout des pâtes du placard que vous pourrez enrichir comme vous aimez. Je vous propose des pâtes au citron (ici des spaghetti mais aussi d’autres pâtes longues comme les tagliolini ou les pappardelle iront bien ou même des penne lisses ;-).
Voici un grand grand classique italien, le plat du dimanche, de la mamma, qui traverse plein de régions (avec plein de variantes) : le poulet mijoté à la sauce tomate dit aussi pollo alla cacciatora (le poulet du chasseur). Un peu dans le même esprit que le poulet aux poivrons à la romaine que j’adore. Bon, vous me direz que entre le type de viande (disons que ce n’est pas vraiment du gibier) et la présence de la tomate, les chasseurs sont bien loin mais le nom est resté (à l’origine il concernait surtout le lapin voire le lièvre et était sans tomate ;-). Il vous suffit d’avoir un bon poulet fermier, de la sauce tomate (et des olives, facultatives mais super bienvenues), un peu de temps devant vous pour vous régaler à table en voyageant un peu.
Toutes rondes, crousti-moelleuses, iodées et super parfumées, ces boulettes de poisson à l’italienne vous séduiront à coup sûr ! Servez-les comme plat ludique et léger (elles sont en plus cuites au four !) ou même à l’apéro, elles vont vous faire voyager dans l’air marin avec grande gourmandise (oui parce qu’on peut manger sain et savoureux n’est-ce pas ?). Nous les avons dévorées en deux temps trois mouvements en souriant à chaque bouchée. La passion italienne pour les boulettes de toutes sortes perdure toujours hi hi et personnellement j’ai un faible pour les versions au poisson : cela permet de déguster le poisson différemment et de le rendre absolument charmant.
Le plat d’automne aux couleurs en vogue, super savoureux, facile, bon marché et qui met en joie ! Des saucisses à la purée de courge butternut et confit d’oignon au vinaigre balsamique, la touche italienne. Le salé, la douceur, les herbes fraîches…. quel plaisir simple. Une idée pour un repas de semaine mais aussi quand on reçoit le week-end. Vous pouvez d’ailleurs le préparer à l’avance.
La crème de marrons est mon amie depuis l’enfance, symbole de la France, découverte à travers ma mère (même si des années plus tard j’ai découvert que c’était une spécialité aussi italienne, près des forêts ;-), c’est un indispensable de mes placards. Et d’ailleurs, je vous avais dédié tout un article Que faire avec de la crème de marrons ? Vingt recettes. Aujourd’hui je vous propose la recette maison, très facile, avec deux ingrédients, presque plus rustique, moins sucrée que celle qu’on trouve dans le commerce mais surtout que vous pouvez décliner à l’infini. À avoir toujours sous la main, si vous êtes fan de marrons comme moi.
Le froid d’octobre est là et ce ciel si lumineux du sud que j’aime tant, aussi. Je vous propose un recette doudou super réconfortante, facile et généreuse parfaite pour le week-end (ou tout le reste de la semaine aussi hein) entre la Savoie et l’Italie : un croziflette (gratin de crozets) au gorgonzola, noix et poire… Les touches italiennes typiques (vous me connaissez) avec un trinôme que j’adore. Vous vous souvenez peut-être de mon autre version (toujours avec la patte italienne) : la croziflette à la gremolata. Alors prêts à plonger dedans ?
Retour des bois, les joues rouges de fraîcheur, les yeux plein de couleurs dorées, rouges et vertes de l’automne… un plat chaud, crémeux, classique et réconfortant qui nous attend sur la table en bois de la maison de campagne. Ces cannelloni au poulet et aux champignons sont un de ces plats italiens si gentils, si liés à une période de l’année et si chaleureux qu’on peut les offrir à tous ceux qui se présentent sur le pas de notre porte. Je vous invite aussi ?
Les lasagnes végétariennes comme en Italie. Rieuses, gorgées de joie et de soleil du Sud. Un grand classique italien, de l’été, de la fin de l’été et même du début de l’automne (où l’on trouve encore les derniers légumes du soleil si si même jusqu’à fin octobre selon les années). Elles sont légères en bouche, colorées, le tout est fondant, gourmand, un vrai bonheur… Je vous propose la recette, tous les secrets pour la réussir et même la vidéo pas à pas !
Oui j’ai récidivé, plusieurs fois d’ailleurs, surtout si j’ai des invités, avec cette merveille de gourmandise, essentielle et la plus simple au monde (et même bon marché !). Je parle de la poitrine de porc rôtie au four avec cette croûte super croustillante (à tomber) et la viande fondante… Cette fois-ci je vous propose une recette avec un morceau plus grand (très pratique puisque cela se conserve plusieurs jours et vous n’aurez plus à y penser) et surtout parfumé aux herbes de Provence. Succès fou à la maison et je l’ai servir avec ma confiture de tomates de l’autre jour.
Cette peau dorée incroyablement croustillante qui rencontre cette viande goûteuse qui fond en bouche, quelle merveille ! Voici donc la poitrine de porc rôtie au four qui nous a séduit au plus haut point. De plus elle est si facile à réaliser. Il y a toujours une première fois… elle me faisait de l’oeil depuis années mais je ne me suis jamais lancée (allez comprendre). Ma grande passion récente pour les cuissons des viandes m’a donné envie d’explorer. Je vous conseille de faire de même, vous aurez un plat succulent sans rien faire.
Voici le temps venu… des aubergines farcies. Je vous en propose chaque année en été depuis 10 ans ;-). Aujourd’hui c’est le tour des aubergines farcies à la viande et à la feta aux parfums de Méditerranée qui ont eu un succès fou à la maison (en même temps c’est assez réconfortant comme mets n’est-ce pas ?). Des aubergines fondantes, avec une farce moelleuse et parfumée, cette touche laiteuse de la feta et, enfin, la croûte un peu croustillante. Le plat qui a presque tout à lui seul (il suffit de pain et de légumes à côté. Vous pouvez aussi servir avec du yaourt grec à côté.Une idée pour le 15 août par exemple, que l’on peut préparer à l’avance.
